Portrait de Yara El-Ghadban. Crédit photo: Manoucheka Lachérie.
Crédit photo: Manoucheka Lachérie.

Yara El-Ghadban

Romancière d’origine palestinienne, Yara El-Ghadban vit et écrit à Montréal. Elle est l’auteure de trois romans aux éditions Mémoire d’encrier, L’ombre de l’olivier (2011), Le parfum de Nour (2015) et Je suis Ariel Sharon en 2018 (Prix de la diversité du Festival Metropolis Bleu, 2019). Anthropologue et ethnomusicologue, ses recherches portent sur la musique, la culture et l’identité. Elle s’engage également contre le racisme et l’exclusion à travers diverses initiatives par le biais de la littérature. Elle est éditrice à Mémoire d’encrier.

Twitter: écrivaine en résidence à la revue Mœbius, Yara El-Ghadban participera à Particules par le biais du compte @Revue_Moebius.

Région associée dans le cadre de Particules 2020: Montréal.

En quoi cette région influence-t-elle ou a-t-elle influencé ses œuvres?
Je regarde et j’écris le monde depuis Montréal, cette ville trilingue qui incarne les expériences, défis et rêves de ses citoyens venus de tous les pays du monde.

Les causes ou initiatives qui lui importent particulièrement?
Combattre le racisme et l’exclusion par le biais de la littérature.

Ses artistes visuels coup de cœur?
Mona Hatoum, Rebecca Belmore, Emily Jacir, Manuel Mathieu.

Ses auteurs et autrices coup de cœur?
Mahmoud Darwich, Gabrielle Roy, Ursula Le Guin, Jacques Roumain…

Un personnage de roman qui l’inspire?
Modesta, dans L’art de la joie par Goliarda Sapienza.

Son incontournable du web?
The Guardian.

Le superpouvoir qu’elle aimerait avoir?
Voler.

Ce qu’elle déteste par-dessus tout?
L’injustice, la mesquinerie et la lâcheté.

Son mot préféré?
Soleil.

Le son qu’elle préfère?
Les feuilles des arbres dans le vent (qui rappelle le son de la mer).